
Weekly Song #75 – Splinter Cell
12 novembre 2015Encore une fois, je vais vous parler d’un jeu d’infiltration. Et cette fois-ci, j’ai choisi la franchise d’Ubisoft: Splinter Cell. J’aime beaucoup cette série pour son héros, Sam Fisher, magnifiquement doublé en français par Daniel Beretta (oui oui, comme la marque de flingues. Accessoirement, c’est aussi la voix d’Arnold Schwarzenegger). Le côté « je sauve le monde d’une nouvelle guerre mondiale/nucléaire » ne me déplaît pas non plus.
Splinter Cell
Splinter Cell est sorti en 2002 sur Xbox, en 2003 sur PS2 et PC et réédité plus tard sur PS3. Développé par Ubisoft Montréal et édité par Ubisoft (tout court), Splinter Cell vous propose de vivre les aventures de Sam Fisher, ancien commando de l’US NAVY SEALS devenu un agent d’Echelon 3. Votre objectif est simple : éviter qu’une troisième guerre mondiale entre la Chine et les États-Unis n’éclate. Une journée normale pour un agent d’élite. Espionnage, enlèvements, sauvetages d’alliés et infiltration ne sont que quelques uns des objectifs que vous aurez à remplir lors des 10 missions du jeu (3 missions bonus ont été ajoutées par la suite).
Le gameplay de Splinter Cell est particulièrement bien fichu. De nombreuses interactions avec les décors et les personnages non joueurs sont proposées, allant de l’escalade d’un rebord à la neutralisation d’un ennemi en passant par l’utilisation de gadgets qui rendraient James Bond jaloux. Sam Fisher peut également réaliser de nombreux mouvements, dont un rigolo mais pas très exploité dans Splinter Cell : le saut écart. Concrètement, le saut écart vous permet de gagner de la hauteur dans un couloir suffisamment étroit en prenant appui avec vos jambes. Un peu comme quand vous jouiez à éviter de toucher le sol quand vous étiez petit(e)s et que vos parents vous disaient de ne pas mettre les pieds sur les murs. Sam Fisher est payé pour ça. Personne ne l’engueule quand il met ses pieds sur les murs.
La bande son de Splinter Cell est sympathique. Pas forcément mémorable, mais sympathique. Voilà pourquoi j’ai décidé d’en partager un morceau avec vous : pour rappeler de bons souvenirs à ceux qui ont joué à Splinter Cell et pour donner envie d’y jouer à ceux qui ne l’ont pas fait. N’hésitez pas à partager l’article s’il vous a plu et à me rejoindre sur Facebook et Twitter !