Streets Of Rage 2 – La coopération brutale

Streets Of Rage 2 – La coopération brutale

20 juin 2017 0 Par MichMich

Ce week-end, j’ai eu l’occasion de rejouer à un vieux jeu : Streets of Rage 2. Et comme la vie est bien faite, j’ai pu y jouer en coopération. Résultat des courses ? Insultes, rigolades, rages et baston. Parce que Streets of Rage 2, c’est de la coopération brutale et sanglante.

Streets of Rage 2, la dure loi de la rue

Streets of Rage 2 est sorti sur MegaDrive en 1992. Considéré par beaucoup comme un jeu de référence, Streets of Rage 2 nous donne le contrôle d’Axel, Blaze, Skate ou Max. Le but du jeu ? Il est très simple : avancer dans les différents niveaux en dézinguant les hordes d’ennemis qui viennent à notre rencontre. Parfois, on peut récupérer des armes et des bonus. Le jeu est dynamique, fluide, la prise en main est rapide et le fun est immédiat. De plus, le challenge est assez présent, notamment grâce aux boss qui viennent conclure les niveaux. Autant vous le dire tout de suite : voir la fin du jeu, ça se mérite.

Je joue à Streets of Rage 2 via SEGA Mega Drive & Genesis Classics sur Steam.

Je joue à Streets of Rage 2 via SEGA Mega Drive & Genesis Classics sur Steam.

J’aime bien Streets of Rage 2. Il a gardé un bon aspect graphique malgré l’âge et chaque partie est super fun. On ne s’ennuie pas en jouant à Streets of Rage 2. Les nombreux ennemis qui apparaissent à l’écran nous donnent tellement de fil à retordre qu’on ne voit pas le temps passer. Entre les punks, les gros bras, les femmes fatales armées de fouets, les karatékas, les boss, et j’en passe, la liste des gens qui nous veulent du mal est incroyablement longue. Tant pis pour eux, ils vont tous manger mes godasses ! Enfin, si tout va bien… L’autre raison qui fait que j’aime bien Streets of Rage 2, c’est que l’on peut y jouer à 2. Et c’est là que le drame arrive…

Viens jouer avec moi

Parcourir les niveaux de Streets of Rage 2 avec un partenaire peut sembler être une bonne idée. Dans la pratique, ça l’est, à certaines conditions. En fait, le jeu intègre une notion que je qualifierai de gentiment bâtarde : le friendly-fire. Le friendly-fire, c’est ce qu’on appelle se tirer dans les pattes. En fait, selon comment on joue à Streets of Rage 2, on peut toucher les ennemis, mais aussi notre partenaire ! Je vous laisse imaginer le bordel à l’écran et les insultes qui volent dans la pièce quand j’ai joué avec la copine… D’autant que c’est moi qui faisait de la merde, 80% du temps.

Seul, Streets of Rage 2 est déjà un joyeux bordel. À 2, c'est carrément le foutoir !

Seul, Streets of Rage 2 est déjà un joyeux bordel. À 2, c’est carrément le foutoir !

Il faut avoir de l’organisation pour jouer en coopération à Streets of Rage 2. Chaque erreur peut coûter cher, et les continues étant limités, je vous laisse imaginer la rage qui envahit les joueurs quand de trop nombreuses erreurs viennent foutre en l’air une progression plutôt bien entamée. C’est bien simple, je classe désormais Streets of Rage 2 dans la même catégorie que Mario Kart et Smash Bros. : c’est un très bon dézingueur de relations sociales. La vie est parfois cruelle.

Après cette première session à 2

Après cette première session en coopération, inutile de vous dire qu’on a pas atteint la fin du jeu. Mais nul doute qu’un jour, on y arrivera. Si on arrête de faire n’importe quoi et d’envoyer des high kicks dans la tronche de l’autre, ça peut le faire. En attendant, n’hésitez pas à partager l’article s’il vous a plu et à me rejoindre sur Facebook et Twitter !