Metal Gear Solid 5 – Après 30 heures de jeu

Metal Gear Solid 5 – Après 30 heures de jeu

8 septembre 2015 0 Par MichMich

Metal Gear Solid est ma série de jeux vidéo préférée et, après avoir joué environ 30 heures au dernier opus en date, ce n’est pas prêt de changer ! N’étant pas d’un naturel patient, attendre aussi longtemps avant de pouvoir poser les mains sur Metal Gear Solid 5 The Phantom Pain a été un vrai supplice. Autant vous dire qu’une fois que j’ai eu la possibilité d’y jouer, je ne l’ai plus lâché. Ma vie sociale en a pris un coup, et c’est loin d’être fini ! En effet, j’ai joué à Metal Gear Solid 5 The Phantom Pain pendant environ 30 heures au moment où j’écrit ces lignes. Et je suis bien loin de l’avoir fini ! Mais j’ai déjà quelques petites choses à dire sur l’oeuvre de Kojima. Bien entendu, comme je ne l’ai pas encore fini, je ne vais pas parler de l’histoire du jeu. Bien, c’est parti pour un premier tour de Metal Gear Solid 5 The Phantom Pain !

Autour de Metal Gear Solid 5

Avant de rentrer dans le vif du sujet, laissez moi vous expliquer dans quel état d’esprit j’ai abordé Metal Gear Solid 5 The Phantom Pain. Pour cela, il faut revenir avant la sortie de Ground Zeroes, le prologue de The Phantom Pain. À cette époque, je crains que les évolutions annoncées fassent du tort à ma série de jeux préférée. Je ne sais plus trop quoi penser. Je suis impatient de jouer à un nouveau jeu Metal Gear Solid, mais j’ai un peu peur aussi. En jouant à Ground Zeroes (j’en parle ici), certaines craintes se sont confirmées, alors que d’autres ont disparues. Quoiqu’il en soit, j’étais encore plus impatient de jouer à The Phantom Pain.

Que la fête commence !

Que la fête commence !

Le jour où j’ai reçu mon exemplaire de Metal Gear Solid 5 The Phantom Pain, j’étais impatient et inquiet. Impatient de jouer à un nouveau Metal Gear Solid, mais inquiet car j’avais peur d’être déçu. Après une séquence d’introduction haletante, bien que linéaire, le jeu nous lâche directement dans la première zone du jeu, l’Afghanistan. À ce moment là, je me suis posé la question : qu’est ce que je vais faire ? L’introduction m’a mis l’eau à la bouche, car en plus de présenter les contrôles de Snake, elle est remarquablement mise en scène : interrogations, personnages et situations impressionnantes, etc. Bref, une fois l’introduction passée, je suis libre. Mais de faire quoi ?

La liberté, c’est parfois effrayant

Très clairement, après l’introduction de Metal Gear Solid 5 The Phantom Pain, je ne savais pas quoi faire. Le jeu vous donne carte blanche, pour de vrai. Le premier objectif principal est bien indiqué sur la carte, mais essayer de l’accomplir sans explorer les alentours peut s’avérer compliqué. Vous êtes libre de vous rendre dans un petit village afin de récolter plus d’informations. Vous pouvez aussi partir en repérage et marquer tous les ennemis et les véhicules des postes de contrôle. Vous pouvez également vous lancer dans ce premier objectif principal sans vous soucier du reste, quitte à faire face à quelques difficultés par la suite. C’est ça qui m’a le plus marqué dans les premières minutes de Metal Gear Solid 5 : je peux m’y prendre comme je veux, vraiment.

Les opérations secondaires de Metal Gear Solid 5 offrent des bonus non négligeables, comme des interprètes.

Les opérations secondaires de Metal Gear Solid 5 offrent des bonus non négligeables, comme des interprètes.

Les missions principales encouragent l’exploration, et ça fait du bien. En effet, chacune de ces missions dispose de plusieurs objectifs, et certains ne sont pas révélés. Par exemple, un objectif de mission peut être de récupérer des plans pour créer une arme. Sauf que, sur le chemin vers ces plans, vous croisez un prisonnier que vous avez la possibilité de sauver. Les missions secondaires ne sont pas en reste. Elles aussi peuvent être abordées de (presque) n’importe quelle manière. Le jeu vous indique dans quelle zone vos objectifs se situent, mais libre à vous de découvrir leur localisation exacte ! Allez-vous fouiller chaque recoin ? Interroger un soldat ennemi ? C’est à vous de voir !

Avancer, ramper, éliminer

Le gameplay de Metal Gear Solid 5 The Phantom Pain me plaît énormément. Le jeu est facile à prendre en main, tout en proposant une certaine profondeur. Ramper, marcher, courir, à pied, à cheval, etc. Les possibilités sont nombreuses. Les armes et gadgets que vous avez à votre disposition sont également nombreux. Que vous préfériez les armes à silencieux ou les lance-roquettes moins discrets, vous trouverez votre bonheur. La Mother Base permet de développer énormément d’objets : tenues de camouflage avec divers bonus, boites en carton aux motifs variés, armes et gadgets parfois inattendus, etc.

Il y a pas mal de choses à faire dans Metal Gear Solid 5 The Phantom Pain. Les missions sont nombreuses et l’exploration est (souvent) récompensée. En 30 heures, j’ai à peine accompli 15% de ce que Metal Gear Solid 5 The Phantom Pain propose. Je réécrirai un article lorsque j’aurai fini l’histoire du jeu, pour compléter ce début d’avis. N’hésitez pas à partager l’article s’il vous a plu et à me rejoindre sur Facebook et Twitter !